Quand je regarde l'écran, l'écran me regarde.
Il n'y a pas de raison.
Pourquoi laisserai-je se poursuivre un cycle Clint Eastwood et surtout Kevin Costner sans avoir le droit d'en ouvrir un consacré à mon actrice favorite ?
Oui, car voilà : Jennifer est, depuis belle lurette, la comédienne actuelle que je préfère. Même si elle est d'une beauté sidérale, je dois bien avouer que cela va bien au-delà du physique : quelque chose de surréel dans son jeu, d'éthéré dans son regard mi-grave mi-malicieux. Et ce sourire énigmatique qui recèle tant de secrets...
Bref, il est temps d'ouvrir ce cycle, qui sera prolongé jusqu'à ce que la dame cesse son activité cinématographique, elle qui a connu la consécration (Requiem for a dream, Un homme d'exception) et de nombreux échecs critiques.
La liste ci-dessous a été créée à partir des films que je possède (en DVD ou blu-ray) et elle sera, bien entendu, augmentée.
Cycle Jennifer Connelly : Il était une fois en Amérique - l'Écran Miroir
Voilà donc un monument qui me manquait. D'ailleurs j'ai dans la filmographie de Sergio Leone pas mal de trous que certains cinéphiles jugeraient inexcusables : qu'ils se rassurent, j'ai la ferme ...
https://www.ecran-miroir.fr/article-critique-il-etait-une-fois-en-amerique-apotheose-105033681.html
A ★★½ review of Phenomena (1985)
Jennifer Connelly, déjà envoûtante, sublime ce film étrange et hésitant, aux dialogues désolants, au script illuminé et à la BO déchaînée.
A ★★★½ review of Labyrinth (1986)
La magie Henson, le charme naissant de Jennifer Connelly, le regard électrique de Bowie transforment ce joli conte en oeuvre intemporelle, capable de séduire les enfants et de plaire aux parents.
A ★★★½ review of The Hot Spot (1990)
La moiteur des corps exacerbe les passions et les rancœurs au sein d'une ambiance languissante rehaussée par la présence de l'inoubliable Jennifer Connelly.
D'amour & d'ombres - l'Écran Miroir
Ne vous fiez pas à la jaquette ou aux affiches : il ne s'agit pas d'une romance torride et moite, mais d'un thriller politique qui tente de dénoncer les exactions d'un régime autoritaire ...
Dark City director's cut - l'Écran Miroir
C'est le film de Proyas qui a eu l'honneur d'ouvrir l'année 2012 du Ciné-Club. Un film que chacun des participants (6, cette fois) connaissait plus ou moins intimement, mais dont la version ...
A ★★★½ review of A Beautiful Mind (2001)
Une réalisation bien trop sage heureusement sublimée par les interprétations lumineuses du couple vedette.
https://letterboxd.com/great_wenceslas/film/a-beautiful-mind/
A ★★★½ review of House of Sand and Fog (2003)
Drame implacable déroulant savamment son inéluctabilité morose sous le regard pâle d'une troublante Jennifer Connelly.
https://letterboxd.com/great_wenceslas/film/house-of-sand-and-fog/
A ★★★½ review of Little Children (2006)
Une histoire adulte d'enfants et d'adultes qui en ont, voudraient en être ou ne plus l'être. Les destins se croisent, les envies s'accordent et les tragédies se nouent. Kate Winslet toujours aus...
https://letterboxd.com/great_wenceslas/film/little-children/
A ★★★ review of Reservation Road (2007)
Un drame poignant qui engendre remords inextinguibles et désir de vengeance. Une réalisation sans éclat mais qui laisse la place à l'interprétation remarquable de deux grands acteurs, encadré...
https://letterboxd.com/great_wenceslas/film/reservation-road/
A ★½ review of He's Just Not That Into You (2009)
Un casting d'acteurs et d'actrices choupinous dans un film poussif et ringard. Mais bon, il y a Jennifer...
https://letterboxd.com/great_wenceslas/film/hes-just-not-that-into-you/
A ★★ review of The Dilemma (2011)
Cruel dilemme : écouter son cœur et se laisser bercer par la coolitude de Vaughn ou décider abruptement qu'en dehors de 2 ou 3 sourires cette petite comédie ne sort pas des sentiers battus ? Al...
Angoisse liquide - l'Écran Miroir
Dark Water Un film de Walter Salles (2005) avec Jennifer Connelly, Tim Roth, Dougray Scott Dark Water est au départ une histoire sombre, axée sur le mal-être et l'angoisse de la perte : une jeun...