[critique] Le Hulk a vu : Cartel

<br /> <br /> Je l'ajoute tout de suite. Je te contacte dès que j'ai les dispo du G.<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Ca fonctionne ! C'est cool de te retrouver ! A bientôt pour une soirée au comptoir.<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Il faut passer par un "gravatar". Tu t'inscris et tu peux te faire une image reconnaissable un peu partout.<br /> <br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Je crois que nous sommes sur la même longueur d'ondes.<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> TWIN, j'ai aussi vu Cartel et je dois dire que, peu ou prou, je rejoins mes camarades. Le film est joli à voir, la photo est soignée malgré une présence importante de filtres, les<br /> acteurs sont impressionnants d'aisance. Le problème vient de l'écriture de McCarthy : si les frères Coen s'en étaient magistralement tirés avec No country for old men, en parvenant à<br /> distiller l'humour féroce et les tirades pseudo-philosophiques d'une manière relativement harmonieuse (peut-être un peu trop systématiquement accolés à Tommy Lee Jones), Ridley Scott paraît ne<br /> pas parvenir à sortir de ce carcan, préférant juxtaposer des séquences de dialogues farfelus ou chaque interlocuteur semble faire la morale à l'autre. Impossible en outre de s'identifier à tel ou<br /> tel protagoniste : tous les personnages sont clairement traités de façon archétypale, balisant la voie maudite du pauvre avocat qui s'est (littéralement) damné pour sa belle.<br /> <br /> <br /> Avare en séquences haletantes, le film se contente de suivre la valse hésitation d'un personnage incapable de prendre la moindre initiative. Certains y verront peut-être un chef-d'oeuvre<br /> existentialsite. Moi pas.<br /> <br /> <br /> <br />