Quand je regarde l'écran, l'écran me regarde.
Dans l'univers d'Upside down, deux mondes se font face, l'un au-dessus de l'autre, en miroir. Chaque individu subit uniquement l'attraction du monde dont il est issu, et non de la planète jumelle. Un amour impossible va s'y forger malgré tout, triomphant de l'implacable gravité.
La dualité des mondes donne lieu à diverses trouvailles intéressantes et à un joli spectacle visuel. Cependant, l'intrigue est assez faible, la romance n'échappe pas aux clichés du genre et le ton général est peut-être trop optimiste, surtout à la fin.
Sympa mais un peu "gentil".
A lire également : l'avis de Cecilia, qui l'a vu en avant-première.
Ma note (sur 5) : |
3 |
Note moyenne au Palmarès (sur 10 notes) : |
2,70 |
Titre original |
Upside down |
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Mise en scène |
Juan Solanas |
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Production |
Onyx Films & Studio 37 |
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Distribué en France par |
Warner Bros. |
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Date de sortie France |
1er mai 2013 |
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Scénario |
Juans Solanas & Santiago Amigorena |
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Distribution |
Jim Sturgess, Kirsten Dunst & Timothy Spall |
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Durée |
95 min |
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Musique |
Benoît Charest |
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Photographie |
Pierre Gill |
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Support |
35 mm |
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Image |
2.35:1 ; 16/9 |
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Son |
VF & VO DD 5.1 |
Synopsis : Dans un univers extraordinaire vit un jeune homme ordinaire, Adam, qui tente de joindre les deux bouts dans un monde détruit par la guerre. Tout en luttant pour avancer dans la vie, il est hanté par le souvenir d’une belle jeune fille venant d’un monde d’abondance : Eden. Dans cet univers, son monde se trouve juste au-dessus de celui d’Adam - si près que lorsqu’il regarde vers le ciel, il peut voir ses villes étincelantes et ses champs fleuris. Mais cette proximité est trompeuse : l’entrée dans son monde est strictement interdite et la gravité de la planète d’Eden rend toute tentative extrêmement périlleuse...