Quand je regarde l'écran, l'écran me regarde.
Reconverti en père modèle pour ses trois filles adoptives, Gru reprend du service pour démasquer un nouveau grand méchant ayant dérobé un sérum qui transforme les animaux inoffensifs en affreuses bêtes féroces.
Cette suite au surprenant premier volet est l'occasion rêvée de retrouver les inimitables "minions" et surtout la petite Agnès, toujours aussi mignonne à croquer. A part ça, le film manque de rythme, le nœud de l'intrigue étant concentré dans la dernière demi-heure. Les quelques bonnes bouffonneries et moments émouvants en font une suite appréciable malgré tout, mais clairement moins inventive et survoltée que l'opus d'origine.
Ma note (sur 5) : |
3 |
Titre original |
Despicable Me 2 |
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Mise en scène |
Chris Renaud & Pierre Coffin |
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Production |
Illumination, distribué par UIP |
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Date de sortie France |
26 juin 2013 |
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Scénario |
Cinco Paul & Ken Daurio |
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Distribution |
Les voix de Steve Carell, Russel Brand & Kristen Wiig en VO |
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Durée |
98 min |
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Musique |
Pharrel Williams & Heitor Pereira |
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Photographie |
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Support |
35 mm |
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Image |
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Son |
VF 5.1 |
Synopsis :Ayant abandonné la super-criminalité
et mis de côté ses activités funestes pour se consacrer à la paternité et élever Margo, Édith et Agnès, Gru, et avec lui, le Professeur Néfario et les Minions, doivent se trouver de nouvelles
occupations. Alors qu’il commence à peine à s’adapter à sa nouvelle vie tranquille de père de famille, une organisation ultrasecrète, menant une lutte acharnée contre le Mal à l’échelle
planétaire, vient frapper à sa porte. Soudain, c’est à Gru, et à sa nouvelle coéquipière Lucy, que revient la responsabilité de résoudre une série de méfaits spectaculaires. Après tout, qui
mieux que l’ex plus méchant méchant de tous les temps, pourrait attraper celui qui rivalise pour lui voler la place qu’il occupait encore récemment.
Rejoignant nos héros, on découvre : Floyd, le propriétaire du salon Eagle Postiche Club pour hommes et suspect numéro 1 du crime le plus abject jamais perpétré depuis le départ de Gru à la
retraite ; Silas de Lamolefès, le super-espion à la tête de l’Agence Vigilance de Lynx, patron de Lucy, dont le nom de famille est une source inépuisable d’amusement pour les Minions ; Antonio,
le si mielleux objet de l’affection naissante de Margo, et Eduardo Perez, le père d’Antonio, propriétaire du restaurant Salsa & Salsa et l’homme qui se cache peut-être derrière le masque
d’El Macho, le plus impitoyable et, comme son nom l’indique, méchant macho que la terre ait jamais porté.