Quand je regarde l'écran, l'écran me regarde.
Un film étonnant, où Sylvester reprend le cadre du premier Rocky et le réinterprète de façon sincère et convaincante : avec beaucoup d’acuité et d’émotion contenue, il dresse le portrait d’un homme meurtri mais encore solide, s’accrochant à ses principes sans jamais y déroger, continuant à avancer tout en se reposant sur les siens. L’inusable Pauly n’a rien perdu de sa verve, même s’il accuse également le coup face à la mort de sa sœur. Lorsque Rocky rencontre une femme surgie de son passé, il l’abordera avec une décence et une naïveté confondantes. Et alors qu’il décide de rebondir pour mordre à nouveau dans la vie, survient l’impensable proposition : un combat d’exhibition face au champion du monde. Bien entendu, le fils de Rocky, qui se plaint de vivre à l’ombre d’une idole à la gloire déliquescente, désapprouve ce projet. Mais ce n’est pas ce qui fera reculer l’indéracinable "étalon".
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Titre original |
Rocky Balboa |
Réalisation |
Sylvester Stallone |
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Date de sortie |
27 janvier 2007 avec 20th Century Fox |
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Scénario |
Sylvester Stallone |
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Distribution |
Sylvester Stallone, Burt Young, Talia Shire & |
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Photographie |
Clark Mathis |
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Musique |
Bill Conti |
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Support & durée |
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Synopsis : L’ex-champion du monde des lourds est au crépuscule de sa vie, une vie pleine de victoires extraordinaires et de défaites douloureuses, qui le laissent entre amertume et contentement. Il lui manque toutefois quelque chose, et cela l’empêche de trouver la sérénité. D’autant que celle qui l’a toujours épaulé, guidé, conseillé, encouragé, Adrian, sa femme, n’est plus là – et son souvenir le hante. Jusqu’à ce qu’une émission sportive, après une simulation par ordinateur, laisse entendre que Rocky Balboa serait éventuellement vainqueur s’il affrontait l’actuel champion du monde Mason Dixon, un jeune doué mais qui n’a jamais eu d’adversaire à sa mesure. En voilà un challenge !