Quand je regarde l'écran, l'écran me regarde.
Après dix ans de vie de couple, Wendy quitte Xavier et emménage à New York avec leurs enfants. Xavier s'y installe alors à son tour et entame une nouvelle vie follement compliquée d'étranger débarquant à Chinatown.
Entre les familles décomposées avec des enfants en pagaille, les histoires de lesbiennes et l'implacable service de l'immigration, le chaos, thème central du film, est total. Ce qui donne lieu à moult moments aussi improbables que jubilatoires s'enchainant dans une logique complètement illogique.
Après l'Auberge Espagnole et les Poupées Russes, Klapisch conclut son tryptique avec un opus plus rythmé et délirant.
A savourer !
Ma note (sur 5) : |
4 |
Synopsis : Xavier a maintenant 40 ans. On le retrouve avec Wendy, Isabelle et Martine quinze ans après L’Auberge Espagnole et dix ans après Les Poupées russes.
La vie de Xavier ne s’est pas forcément rangée et tout semble même devenir de plus en plus compliqué. Désormais père de deux enfants, son virus du voyage l’entraîne cette fois à New York, au beau milieu de Chinatown. Dans un joyeux bordel, Xavier u cherche sa place en tant que fils, en tant que père… en tant qu’homme en fait ! Séparation. Famille recomposée. Homoparentalité. Immigration. Travail clandestin. Mondialisation. La vie de Xavier tient résolument du casse-tête chinois ! Cette vie à l’instar de New York et de l’époque actuelle, à défaut d’être cohérente et calme vient en tout cas nourrir sa plume d’écrivain…