[bilan] films visionnés en février 2011

 A présent que les vacances ont bien commencé (suite à un mois particulièrement dense et à la visite d’une expo très intéressante dont je reparlerai), j’ai désormais le temps de me consacrer à mes petites chroniques personnelles. Et d’abord le traditionnel bilan.

On n’a guère eu le temps de se consacrer au cinéma, mais des films comme Black Swan et le Discours d’un roi jouissaient de tant de bonnes critiques chez mes collaborateurs du Palmarès que je ne pouvais pas y échapper. Côté séries TV, Big Bang Theory s’est avérée en effet très jubilatoire et la suite promet (merci Broots). The Good Wife m’a surpris, je ne pensais pas être aussi accroché par l’intrigue et l’interprétation.

Quant à mes engagements en partenariat (Marathon Cronenberg, avec Cachou entre autres, Challenge Fin du monde, avec Cachou entre autres, Ciné-Club Sensation), ils me permettent de tenir un rythme satisfaisant de visionnages apportant leur lot de joies et de déceptions.

Comme d’habitude, les titres en couleurs renvoient à des billets publiés ici-même.

Toujours peu de films au ciné, mais au moins j’ai pu voir ceux que j’espérais. Les vacances de février vont me permettre de rectifier le tir.

Le Défi Cronenberg m’a permis de revoir sur de bons supports quelques-unes des pièces maîtresses du réalisateur canadien.

Le director’s cut de Daredevil n’en fait pas un chef-d’œuvre, mais un film regardable, un peu bouffi et parfois ridicule, mais qui a le mérite de mieux coller aux origines de l’Homme sans peur. Vampires est un Carpenter jouissif et percutant, d’un cynisme roboratif. The Cell ponctue de plans sublimes un scénario absurde, mais le blu-ray ne bénéficie pas du même traitement que the Fall du même réalisateur. Le Dernier des Mohicans en blu-ray transcende les qualités intrinsèques du film, grand spectacle viscéral, mais fait également ressortir la propension à user de filtres.

Kick-Ass et Equilibrium souffrent étrangement du même mal, dans des proportions assez similaires : alors que je les trouvais excellents, un nouveau visionnage m’en a ôté une bonne partie de l’enthousiasme ; le premier s’est mué en film pop-corn amusant mais inachevé, le second en œuvre maladroite et bancale, mais souvent maligne.