Quand je regarde l'écran, l'écran me regarde.
Ma liste cornélienne, par Nico, 5e membre du
Groupe.
Ca n'a pas été évident, j'ai voulu à tout prix éviter de citer tout le temps les mêmes
films, et puis en fait je n'ai pas pu résister (entre Blade runner, Lost in translation par exemple, dur de ne pas les placer partout ces deux
films).
L'exercice est amusant, mais il n'indique pas spécialement mes films préférés. Il faudrait faire une liste plus complète.
> Retrouvez ici la liste de Vance, et là la liste de Jennifer et enfin ici, celle de TWIN ; les titres de films en bleu sont cliquables et mènent directement à la chronique concernée sur ce blog.
Un film étranger : Blade Runner, de Ridley Scott.
Un film français : Augustin, roi du kung fu, d’Anne Fontaine.
Un film d’animation : Aladdin, de John Musker et Ron Clements.
Une saga : Star Wars, de Georges Lucas.
Une suite : Toy story 2, de John Lasseter.
Un remake réjouissant : 1001 pattes de John Lasseter.
Un trio de réalisateurs : Steven Spielberg, Wong Kar Wai, Sofia Coppola.
Un trio d’acteurs : Leonardo Di Caprio, Raimu, Denzel Washington.
Un trio d’actrices : Julianne Moore, Meryl Streep, Maggie Cheung.
Un scénario : Bienvenue à Gattaca, d’Andrew Niccol.
Une révélation : Simon Pegg et Nick Frost.
Une rencontre d’acteurs : Le casting du Seigneur des anneaux de Peter Jackson.
Un début : Titanic de James Cameron, une plongée fascinante sur l’épave, une musique et une photo mystérieuses, la promesse d’un chef d’ œuvre.
Une fin : La fin du Retour du roi de Peter Jackson.
Un coup de théâtre : La fin de Sacré Graal des Monty Pythons avec le coup du panier à salade ….
Une affiche : Mulan, de Tony Bancroft et Barry Cook.
Une bande-annonce : Celle de la Communauté de l’anneau de Peter Jackson, j’en ai pleuré de joie.
Un générique : Mon voisin Totoro, de Hayao Miyazaki.
Un gag : Involontaire dans l’Homme au masque de fer : Leonardo Di Caprio en Louis XIV se baladant dans Vaux le Vicomte et passant devant le vrai tableau de ce roi à 50 ans. Volontaire : L’ « intelligence sensuelle » de Brendan Fraser dans George de la jungle.
Un fou rire : Au cinéma devant le Retour du Jedi, la scène où Leia fait connaissance avec Wickett et qu’elle lui donne un truc à manger, un de mes amis crie « punaise ! elle lui donne du Crunch ! », fou rire général dans la salle, pourtant ce n’est pas vraiment drôle on va dire (on était en troisième hein), mais à chaque fois que je regarde ce film, je souris. Sinon, Jiji au supermarché regardant une tasse avec un dessin de chat et qui dit « Kiki regarde c’est moi ! » dans Kiki la petite sorcière de Hayao Miyazaki.
Un clown triste : Bill Murray dans Un jour sans fin, de Harold Ramis.
Une réplique : Celle que peut murmurer Bill Murray à l’oreille de Scarlett Johanson dans Lost in translation.
Un silence : La fin de The Truman Show de Peter Weir.
Une mort : Roy Batty dans Blade Runner de Ridley Scott.
Un rêve : Une adaptation du jeu vidéo Tomb Raider 2, sombre et réaliste, réalisée par Ridley Scott.
Un regret : Que le montage des deux Kill Bill de Quentin Tarantino mette beaucoup de temps à sortir.
Un plaisir coupable : Transformers, de Michael Bay.
Une histoire d’amour : Celle entre Tony Leung et Maggie Cheung dans In the mood for love de Wong Kar Waï.
Un regard : Celui de John Goodman dans The Big Lebowski, des frères Coen.
Un sourire : Tous ceux de Ben Stiller, dans Mary à tout prix des frères Farrelly.
Un fantasme : Ah ah ! être à la place de James Bond ….
Un baiser : Jude Law et Norah Jones dans My Blueberry Nights de Wong Kar Waï.
Une scène d’amour : Bill Murray et Scarlett Johanson, allongés tous les deux sur un lit, pas vraiment une scène d’amour au sens propre, mais tout comme.
Un plan séquence : Quelques-uns dans Meurtre mystérieux à Manhattan de Woody Allen.
Un plan tout court : Charlotte (Scarlett Johanson), assise devant la fenêtre dans sa chambre surplombant Tokyo dans Lost in translation de Sofia Coppola : la caméra aérienne, légère, et la musique me touchent particulièrement.
Une scène clé : L’échange de personnages et d’histoires au milieu de Chungking Express, de Wong Kar Waï.
Un choc plastique en couleur : Mon voisin Totoro, de Miyazaki.
Un choc plastique en noir et blanc : Les Contes de la lune vague après la pluie, de Kenji Mizoguchi.
Un choc tout court : Starship Troopers, de Paul Verhoeven.
Un artiste sous-estimé : Christophe Gans.
Un artiste surestimé : Brian De Palma.
Un artiste trop rare : James Cameron.
Une déception : Les Contes de Terremer de Goro Miyazaki.
Un somnifère : Dune, David Lynch (et j’aime bien ce film).
Un gâchis : La fin en ville dans Jurassic Park, the lost world de Steven Spielberg.
Une découverte récente : Hot Fuzz d’Edgar Wright.
Un traumatisme : Pas vraiment un traumatisme, mais ça m’a marqué : la relation entre Alfred et le pingouin dans Batman Returns, de Tim Burton.
Un torrent de larmes : Lorsque Frodon se sépare de ses trois amis hobbits à la fin du Retour du roi, de Peter Jackson.
Une chanson : « One day I’ll fly away », dans Moulin rouge ! de Baz Luhrmann. En tant que chanson “titre” je dirais Tomorrow never dies, de Roger Spottiswoode, interprétée par Sheryl Crow.
Une musique : La scène où Kida entre dans le cristal dans Atlantide, ou la musique d’Edwar Shearmur dans Cruel Intentions.
Une bande son : Rencontres du troisième type, de Steven Spielberg, une musique intelligente, envoûtante, accompagnée de bruitages en totale harmonie avec les images.
Un sursaut : Toutes les scènes d’apparition d’extra-terrestres dans Signes de M. Night Shyamalan.
Un frisson : E.T. dans le jardin la nuit, Steven Spielberg.
Un souvenir de cinéma qui hante : Le début dans la banque dans The Dark Knight de Christopher Nolan.
Une explosion : Celle de l’hélicoptère à la fin de Mission : impossible, de Brian De Palma.
Un gunfight : Heat, de Michael Mann.
Un combat : La Secte du lotus blanc, de Tsui Hark.
Une arme : Le sabre laser.
Un héros : Indiana Jones.
Un méchant : Dark Vador.
Un serial killer : Hannibal Lecter.
Un croque-mitaine : Lo Pan dans les Aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin, de John Carpenter.
Un monstre : Alien.