Quand je regarde l'écran, l'écran me regarde.
Evincé du trône des Necromongers, Riddick est exilé sur une planète désertique, peuplée de créatures hostiles. Pour couronner le tout, il est traqué par des chasseurs de primes sans scrupules.
Ce troisième épisode emprunte bien plus à l'opus d'origine qu'aux Chroniques de Riddick. Mêlant survival-horror et chasse à l'homme avec un rythme efficace, il demeure intéressant d'un bout à l'autre et nous gratifie de quelques assassinats bien sentis.
Bien sympa donc, même si sans un ou deux clichés idiots et quelques dialogues moyens, et avec un dénouement moins calqué sur celui de Pitch Black, le film aurait pu être meilleur.
Ma note (sur 5) : |
3 |
Titre original |
Riddick |
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Mise en scène |
David Twohy |
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Date de sortie France |
18 septembre 2013 |
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Scénario |
Butcher, Cornwell & Twohy |
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Distribution |
Vin Diesel, Katee Sackhoff & Jordi Molla |
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Musique |
Graeme Revell |
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Photographie |
David Eggby |
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Support & durée |
35 mm , VF DD 5.1 / 119 min |
Synopsis : Riddick a été laissé pour mort sur une planète brûlée qui semble exempte de toute vie. Pourtant, il se retrouve rapidement obligé de lutter pour sa survie contre des prédateurs aliens plus mortels que tous les humains qu’il a affrontés au cours de sa vie. Il trouve un refuge précaire dans une ancienne gare de transit interstellaire désaffectée. La seule façon pour lui de s’en tirer est d’activer une balise d’urgence et d’alerter les mercenaires et autres chasseurs de primes, qui se ruent vers la planète à la recherche de leur proie.