Quand je regarde l'écran, l'écran me regarde.
Quelques humains privilégiés habitent Elysium, une station utopique en orbite autour d'une Terre surpeuplée où règnent la pollution, la pauvreté et la maladie. Max, un Terrien condamné, a peu de temps pour faire la révolution et rendre Elysium accessible à toute l'humanité.
Derrière ce background SF rappelant furieusement Gunnm se cache un film d'action survolté à mi-chemin entre le sérieux et le cool : armes qui dépotent, exosquelettes greffés (dont l'intérêt reste obscur) et mecs qui explosent sont de la fête.
On a donc droit à un film prenant de bout en bout qui tente, par petites touches, de rappeler les enjeux humains et philosophiques de la dualité des mondes ; dommage qu'il ne fasse pas preuve d'autant de finesse que District 9 sur ce point. Malgré cette petite déception l'ensemble est de très bonne facture.
Ma note (sur 5) : |
3,5 |
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Titre original |
Elysium |
Mise en scène |
Neill Blomkamp |
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Production |
distribué par Sony Pictures |
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Date de sortie France |
14 août 2013 |
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Scénario |
Neill Blomkamp |
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Distribution |
Matt Damon, Sharlto Copley & Jodie Foster |
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Durée |
110 minutes |
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Musique |
Ryan Amon |
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Photographie |
Trent Opaloch |
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Support |
35 mm |
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Son |
VF DD 5.1 |
Synopsis : En 2154, il existe deux catégories de personnes : ceux très riches, qui vivent sur la parfaite station spatiale crée par les hommes appelée Elysium, et les autres, ceux qui vivent sur la Terre devenue surpeuplée et ruinée. La population de la Terre tente désespérément d’échapper aux crimes et à la pauvreté qui ne cessent de ne propager. Max, un homme ordinaire pour qui rejoindre Elysium est plus que vital, est la seule personne ayant une chance de rétablir l’égalité entre ces deux mondes. Alors que sa vie ne tient plus qu’à un fil, il hésite à prendre part à cette mission des plus dangereuses - s’élever contre la Secrétaire Delacourt et ses forces armées – mais s’il réussit, il pourra sauver non seulement sa vie mais aussi celle de millions de personnes sur Terre.